Eclats de glace sous le soleil [ Combat | Spéctateurs autorisés xD]
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Sujet: Eclats de glace sous le soleil [ Combat | Spéctateurs autorisés xD] Lun 7 Déc - 11:37
Mes doigts se serrèrent sur le manche de mon arme. Devant elle se dresse fièrement sa jumelle. Les deux grandes dames ensanglantées s’affrontent par leur blancheur fantomatique. Le combat n’avait point commençait, pourtant, les rares élèves présents dans le parc retenaient leur souffle. Je n’avais pas pour réputation de laisser un travail inachevé et mon adversaire était connu pour sa violence et son humour sadique. Quelques heures plus tôt, caché au creux d’un livre que je ne pensais jamais ouvrir, trônait le morceau de papier où une écriture manuscrite m’invitait sans échappatoire à un combat test. Test. Ce mot me révoltait autant que sa désinvolture. Lentement je vins ranger dans son fourreau l’extension de mon bras, mon instinct me disait qu’elle serait plus qu’encombrante pour le premier assaut. Devant moi, Akio affichait son énième sourire narcissique, ses bras croisé sous sa poitrine il avait ôté sa veste noir pour laisser la blancheur de sa chemise éclatait au soleil. Mes yeux cyans se levèrent vers la voute céleste et subir quelques secondes la brulure de l’astre. Je hais le soleil et la chaleur factice qu’il apporte. Éblouissement pouvant être mortel lors d’un combat. Un simple coup d’œil à Anshin confirma mon impression.
Le combat pouvait commencer.
Chimère d’un ange, de magnifiques ailes aux plumes blanchâtres se frayaient un chemin à travers les côtes d’Anshin. Déchirant sa peau, écartant ses poils blancs, leur pureté éclatait au soleil tel une apparition divine. Malgré son air calme je connaissais ce regard qu’il envoyait à Noah, petite chatte d’Akio, ce regard fier et vantard qu’il pavanait pour impressionner. Même sous forme bestial les hommes sont des idiots. Imperceptible mouvement, muscle tendu, je laissais le début du combat s’impatientait le temps que l’adrénaline atteigne mes membres. Foutue sang glacé qui rend les choses si figées au creux de mes artères. Mon regard se portait toujours sur mon adversaire, il n’avait point bougé, pourtant l’aura glacial qui l’entourait respirait l’envie de combattre. Deux combattants près à fendre l’air des lames de leurs âmes. Akio. Ce qui me liait à lui dépasser de loin le lien entre deux piliers, entre l’élève et le surveillant. Nous étions deux être semblable en trop de point pour ne pas connaître l’issue de cette relation. Et ce combat n’en était que le préambule d’une tragédie funeste. Même si le destin n’y était pour rien, mes actes eux par contre. Regrets ? Ce mot ne m’avait jamais été appris comme une preuve de bon sens, au contraire, la faiblesse des regrets stopper la lame salvatrice. Une vie sans regrets est une vie sans hypocrisie. Lui comme moi pensions de même, c’est pour cela que lui comme moi devions combattre.
Mon corps était à présent aux pleins moyens de ses capacités, cela n’avait duré que quelques secondes, des secondes que je savais pourtant mortel contre un ennemi de sa force. Pourtant, il n’avait toujours pas bougé. Si suffisant. Je ne doutais pas qu’il connaissait certaines des faiblesses que mon don apportait. A mes oreilles battait à présent le son saccadait d’un battement d’aile majestueux. Mes cheveux se soulevèrent sur mes épaules caressèrent lentement mon pull – que je portais malgré la soi-disant chaleur étouffante de cette journée – alors qu’une douce brise aux allures glaciales caressait mes joues. J’imaginais la froideur légère de cette brise devenir gifle glaçante. De fin flocons de neige se posèrent avec délicatesse sur les manches de mon pull, fondant sous la chaleur qu’il dégageait. Quand je pense que de simple création d’Anshin pouvait me tuer. Rabattant ma capuche sur ma tête, je sortis deux dagues qui vinrent se loger avec facilité au creux de mes mains. Devant moi le parc fleurissant n’était plus que brouillard gelée. Habituée je distinguais la carrure d’Akio dans la brune, toujours immobile. Il voyait. Autant que moi je voyais. Deux statues de glace se dissimulant dans la tempête. Deux combattants des neiges se mouvant dans la tempêtes.
Sujet: Re: Eclats de glace sous le soleil [ Combat | Spéctateurs autorisés xD] Lun 7 Déc - 18:56
Pauvre voiture… impossible de rouler pour le moment, sa chère propriétaire avait du travail… enfin plutôt un entrainement à faire. La rentrée était passée et les élèves étaient là pour mon plus grand malheur, moi qui avait du mal à les supporter mais en même temps j’étais là pour m’en occuper et puis ce n’est pas comme si ils étaient tous débiles. Non, certains allaient jusque là folie et sur ce point, ils me ressemblaient. Bref. Angriff roupillait sur le toit au soleil comme à son habitude et moi je sortis du garage après avoir vérifié que personne n’avait touché ni rayé ma moto et ma voiture. Il fallait maintenant que je remonte dans ma chambre pour prendre mon fusil sniper et que je m’entraine pour rester au top dans le hit des meilleurs tueurs à gages du moment. Certains élèves me dirent bonjour, je leur répondis en affichant un sourire radieux mais pas totalement feint pour une fois, ils avaient été polis, il était donc juste que je le sois aussi et ça faisait plaisir de voir que certains n’avaient pas oublié les bonnes manières envers leurs aînés et supérieurs.
Je remontais donc à ma chambre. En théorie pour le tir, il faut être le plus discret possible, cela implique donc de l’être aussi dans sa tenue vestimentaire, je prévoyais alors de mettre une tenue aussi foncée que le sol du toit. Car aujourd’hui, j’avais opté pour une tenue toute blanche, d’un tissu aussi doux que du velours qui constituait mon tailleur et mon pantalon blanc ce qui n’est pas le plus discret sur un toit gris-noir. En dessous, j’avais un simple débardeur et pour chaussures juste des talons aiguilles. Mes cheveux teints en noir mais avec néanmoins des reflets rouges sombres qu’on voyait au soleil, étaient attachés en queue de cheval simplement, raides mais toujours aussi doux. Il n’y avait que deux mèches de libre à l’avant, très longues qui m’arrivaient jusqu’en dessous du bassin. Mais pour le tir ce n’était pas un problème. Au moment où j’allais enlever mon tailleur blanc et le remplacer par un noir je sentis au loin que Angriff se réveillait et même encore à moitié dans les vapes, il regarda en contrebas, dans la cour, voir s’il n’y avait pas de chahut et donc si je pouvais tirer tranquille. Sauf qu’on semblait ne pas vouloir me laisser faire…
Hey, tu devrais venir dans la cour, le pilier de glace actuel semble avoir des comptes à régler avec Akio.
Soupire intérieur très prononcé de ma part.
Il faut vraiment que j’intervienne ?
Si tu veux pas qu’il y ait des morts et que tu te fasses renvoyer, il vaudrait mieux. Je te réserve un banc aux premières loges.
Pas le choix donc. De mauvaise grâce je rangeai mes affaires et restais en blanc. Mes jambes me portèrent jusqu’en bas, pas très pressées à vrai dire. Akio était Akio, je l’avais déjà observé à loisir du temps où nous étions des piliers, quant à celle qu’il avait choisi comme remplacante… elle avait sa manière d’être. Une manière d’être qui me plaisait énormément à vrai dire, folle et instable à souhait ! Mais évidemment je ne laissais rien paraitre quand je la croisais. Quoiqu’il en soit, si j’y allais c’était pour rassurer les autres aux alentours et mes supérieurs, perso je me fichais royalement de leurs motivations et de ce qu’ils voulaient faire.
J’arrivais enfin dans la cour éclairée et repérais vite Angriff, allongé –une fois de plus- sur un banc près des deux mariolles dont un armé, qui prévoyaient de se battre. Je rejoignis le banc tranquillement, demandant aux élèves de s’écarter le plus possible. En théorie, j’aurais du essayer de les raisonner…en théorie car comme je l’ai déjà dit, je me foutais totalement de ce qu’ils pouvaient faire. Des élèves se mirent derrière moi comme s’ils cherchaient une éventuelle protection. Ca allait être si terrible que ça ? Il fallait avouer qu’Akio avait beaucoup plus d’expérience que la petite en face de lui, et plus de puissance surtout donc oui ça pouvait très mal tourner… Pour avoir la conscience tranquille, Angriff voulut aller vers Akio pour lui dire rapidement :
Je sais que c’est inutile mais c’est juste pour faire bonne figure auprès des supérieurs: réfléchis-y à deux fois avant de l’attaquer ou alors évite de trop l’amocher, elle ou les autres…
Puis repartir vers moi en gromellant :
Aely va encore gueuler qu’Akio peut amocher les élèves et qu’elle, elle peut même pas s’en servir comme cible…et c’est encore moi qui va devoir supporter ça…
L’ex pilier de glace aurait surement entendu, tant pis, ce n’est pas comme si il ignorait mon métier privé, au contraire il était au courant depuis un bout de temps. Ma bête ne le fit pas finalement, trop fainéant et puis le combat avait déjà commencé et l’air se rafraichissait. J’avais un soda à la main et je le sirotais tout en regardant, ayant demandé à l’un des élèves d’aller m’en chercher un et il y alla après m’avoir regardé avec des yeux gros comme des soucoupes. Il devait me trouver barge pour me comporter comme si j’assistai à une séance de cinéma alors qu’un surveillant et une élève voulait se battre à armes réelles. Qu’ils grandissent un peu à la fin…ce n’était pas la fin du monde un simple combat. Pendant quelques temps j’eus même envie d’aller y participer histoire de me défouler, plus on est de fous, plus on rit ! Mais un éclair de lucidité me retint et je me contentais de boire ma canette. Je ne dis qu’une seule chose à voix basse alors que le brouillard de glace ne laisse voir que deux silhouettes :
Ave Caesar, morituri te salutant !
Sujet: Re: Eclats de glace sous le soleil [ Combat | Spéctateurs autorisés xD] Lun 14 Déc - 10:50
Le soleil vient de se lever… Ou pas. La nuit était encore trop présente quand mes yeux s’ouvrirent, victime d’un rêve trop réel pour y croire. Je sentais encore sur moi la chaleur de ses lèvres brulantes. Aiko, même dans mes rêves tu croise encore le fer avec moi dans nos étreintes volcanique. [Avoue Mya tu as cru qu’il rêvait de toi ]. Ma main frôla mon front humide, sachant les quelques gouttes salés qui couler le long de ma tempe. Je sentais dans mon dos le regard blasée de Noah qui ne supportait plus mon caractère. Amusant. Passant ma main dans mes cheveux ébène, décoiffant un peu plus ceux-ci, je me dirigeais d’un pas trainant vers la salle de bain. J’avais décidé de m’amuser aujourd’hui, et quoi de mieux pour cela que de jouer un peu avec mon glaçon adorée. L’eau froide me frappa, réveillant mes sens et laissant couler avec elle le souvenir de mes rêves charnels. Laissant ma peau fiévreuse retourné à sa légère froideur, je cherchais les mots adéquats pour rendre ma princesse des glaces un peu plus furieuse. Ce ne serait pas dur, mon frère me parlait si souvent d’elle que je connaissais mieux ses faiblesses qu’elle-même. Mais un combat contre une furie de sa trempe serait moins ennuyant, mettant de côté ma victoire certaine bien sûr. Enfilant une chemise blanche, légèrement entrouverte et un jeans noirs, j’admirais quelques seconde me beau ténébreux qui m’observais de son air taquin dans le miroir. De retour dans ma chambre, j’allumais la petite lampe près de mon lit, rideaux tiré laissais mon antre dans ces ténèbres accueillantes. Déchirant un morceau de papier, dans un bruit doux et envoutant, je mordis le bout de mon stylo avant de calligraphier de mon écriture un peu malhabile mon invitation. Avec un sourire narquois, je déposais mon mot au creux d’un livres que j’avais pris soins de choisir la veille, « Le petit chaperon Rouge ». Les élèves commençaient à s’éveiller et leur bruit infect de petit nuisible résonnait dans les couloirs. Cris de panique de fille se croyant en retard, de bête mécontente d’être réveillée, tout ici respirait l’odeur juvénile de l’adolescence féminine. Atteignant enfin la chambre de la demoiselle, je glissais le livre sous la porte, elle allait vouloir me tuer, les choses n’en serais que plus amusante. Je n’avais plus qu’à entendre mon adversaire, et cela ne serait pas longtemps. Fourrant mes mains dans le creux de mes poches, je me dirigeais en sifflotant vers la cour, croisant quelques élèves qui s’écartait sous mon passage par peur de mes punitions… amusante. Une pointe de plaisir naquit au fond de mon esprit en voyant l’air apeuré d’une élève à qui j’avais fais taillader les ronces avec un ciseau à bout rond – je vous laisse imager à quel point cela coupe bien – d’un des bosquets de la cour, elle s’en était sortie avec quelques égratignures. Il manquait quelques choses à mon triomphe. Des spectateurs venant acclamé César lui-même entrant dans l’arène affronter ses gladiateurs. Je laissais donc échapper l’annonce d’un combat épique. Je me plaçais dans un coin du parc aux grandes études vertes, autant éviter d’abimer trop la nature, l’air allait bientôt être glaciale par ici. Noah à mes côtés restait silencieuse, elle désapprouver ce combat, elle n’avait jamais été du genre à s’amuser, malheureusement. Mes yeux se posèrent sur le magnifique tigre blanc qui s’avançait vers moi, de quoi Aely allait-elle encore se plaindre cette fois. Je n’écoutais qu’à moitié cette bête, si Aely avait voulu réellement m’empêcher de combattre elle me l’aurait dit elle-même, et je savais qu’elle ne rechignerait pas devant un beau spectacle. Croisant mes bras sous ma poitrine j’observais Loo qui s’avançait vers moi, ses vêtements recouvrant sa peau malgré la douce chaleur. Nous ne disions rien. Nous n’en pensions pas moins. Elle et Anshin, son toutou, savaient parfaitement que le combat n’était qu’à quelques seconde de commençait, et elle laissait surement l’adrénaline coulait au creux de ses veines. Attaquant maintenant, mes chances de victoires ne connaissaient pas d’ennemi, mais cela n’aurait plus rien eut de drôle.
FLASH BACK – Sa faisait longtemps –
Je ne comptais plus les années depuis ma dernière conversation avec mon frère, du moins de vive voix. Je n’avais jamais réellement perdus le contact, l’informatique nous permettant de converser souvent, et les sujets sensibles étant éviter nous étions toujours en bon thermes. Je n’en restais pas mon intrigué par cette élève dont il me parlait si souvent, et si elle était la perle qu’il disait, elle serait une future alliée potentiel à ne pas négliger. Ma moto s’arrêta devant une grande bâtisse perdue dans la plaine, mon frère cet amoureux de la nature n’avait donc pas changé. Il avait dut entendre du bruit. Il avait dut reconnaître le bruit caractéristique de ces motos qu’on utilisait dans la bande. Il se tenait là, devant moi, me dépassant légèrement cassant l’impression de miroir. Les mêmes, en apparence. Nos esprits était diffèrent, notre philosophie aussi. Il m’avait manqué, mais je n’étais pas là pour m’empêcher sur mes sentiments, celle que je voulais, que je voulais rencontrer c’était cette Loo. Il me signe de le suivre à l’intérieur de sa maison de campagne, une douce odeur s’infiltra dans mes narines en entrant dans la porte, une odeur qui faisait jaillir en moi le souvenir d’une faible humaine morte sans se défendre. Je tilta, fronçant légèrement les sourcils, mais il ne s’en occupa pas. Je le rejoins près de la fenêtre et aperçut dans la cour une adolescente à la peau pâle et aux cheveux ébènes. Celle-ci se bâtait contre un loup blanc aux magnifiques ailes d’ange. Une bête. Sa bête. Mon frère était vicieux quand il voulait, faire battre une gamine avec elle-même, si on peut dire cela.
« Ces deux là se déteste autant qu’il s’aime, sa donne des combats intéressants, même si je dois souvent les arrêter avant qu’ils ne se tuent »
J’écoutais en silence, allaient jusqu’à tuer sa propre bêtes, allait jusqu’à se tuer soi-même, ces deux là aimer tellement le gout du combat qu’il irait jusqu’à là. Etre près à ça, c’est être prêt à tout durant un duel, durant une bataille. Les deux êtres se mouvaient avec la grâce des grands loups, leurs pas n’étaient que danse funeste, leurs armes frappaient pour tuer, pour blesser, et le sang qui coulait venant enrichir la terre en était la preuve. Je souris. Je connaissais cette rage, ce besoin de combattre. Ce plaisir. Suivie d’un enseignement enrichissant à la rupture prédestinée. Cette fille, qui tenait tête à ce grand loup, n’était autre que la faucheuse qui prendrait la vie de mon frère, ainsi devait aller les choses, j’agirais ainsi dans son cas.
« Elle te ressemble… Elle me tuera. »
Ces mots suivaient une logique que lui et moi étions les seuls à comprendre. En le tuant je me devrais de la tuer. Ces mots venaient de me lier à cette gamine dans une bataille rageuse, qui devait avoir lieux que lorsque la balance sera stable. Elle venait de gagner, sa lame se posant sur le coup du loup qui grognait de frustration. Ses pas reculèrent, sa lame se baissa, elle ne s’avouait pas gagnante, cette victoire était trop fade, et le combat repris. Sans quitter du regard leur danse guerrière bien qu’encore mal chorégraphié, je dis mes premiers mots à mon frère depuis des années.
« Forces…Faiblesse »
Ma voix trainante aux sonorités graves si peu semblable à celle de mon ainé cassa le bruit des mâchoires s’abattant sur la lame d’acier. Il sourit, prenant le temps d’observer avec l’admiration d’un homme condamné son prodige.
« Agilité, Rapidité, Endurance, Instinct, elle sait où frapper. Faiblesse, Force physique, les quelques secondes cruciales où ses muscles ne sont pas à pleine capacité même si la prendre par surprise est difficile, elle sent les combats comme son loup sent le sang, ils sont nés pour combattre. Mais, elle est surtout dévorée par la folie… Sa plus grande force, sa plus grande faiblesse. »
La folie, quel doux monstre sinisant sans la chair et l’esprit et dévorant peu à peu l’être originel. Elle était bien moi, elle était bien un démon.
FIN DU FLASH-BACK
Le froid venait à présent, je ne le sentais pas, une fine couche de glace transparente recouvrait mon corps, faisant éclater de brillance chaque parcelle de ma peau. Le jeu pouvait commençait. Le combat débutait. Peu à peu l’air environnant se brouilla sous un mur de neige, la visibilité quasi nul pour les habitués du soleil m’autorisé la vue de la silhouette svelte de mon adversaire. Elle courrait. Ma main se plaça devant moi, caressant les flocons de neiges qui tombaient mollement sous mes yeux. Ils se figèrent, se collèrent, se glacèrent, et un épais mur de glace commença à se forme devant moi, attendant que mon œuvre se finisse par effet domino, je reculai de quelques pas attendant mon adversaire qui, je me doute, ne mettrait pas longtemps à franchir cette obstacle.
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