Une chambre envahie par l'obscurité. Une pièce remplie par les ténèbres. Aucun point lumineux ne pouvais y passer à l'intérieur. C'était le milieu de la nuit quoi ! Mais cette nuit d'appréhension passa très vite à mon goût... Car j'entendis soudain un bruit assourdissant. Un bruit que personne ne veut entendre, plus particulièrement le matin : le réveil. Ah combien de fois avez-vous eu envie de réduire en miette ce bon vieux réveil ? ! C'est ce que je fis. Je le frappe avec un énorme coup. Il se cassa sous le choc. Je lâcha un " aïeuuh" car je m'étais fait mal en cassant cette affreuse machine. Je suis vraiment pas maligne parfois, je l'avoue...

Je décide enfin de me lever. Je mis alors un pied a terre, le gauche. Ah, je sentais déjà que cette journée sera ennuyeuse et particulièrement énervante. Je me précipita pour ouvrir les volets de ma chambre, laissant passer les quelques rayons de soleils qu'il y avait dehors. La pièce commençais alors a s'éclairait lentement, laissant voir des murs rouges foncé avec des signes chinois. Ses signes écrivaient le prénom d'Alice. Au milieu de ma chambre se trouvait un lit géant dont les draps avaient exactement les mêmes couleurs que la tapisserie qui se trouvait sur les murs. Puis, au coin de la chambre, une grande armoire joliment décorer essayais de se faire toute petite tellement elle prenait de place dans la pièce. Puis, de l'autre coin de la chambre, tous a l'opposer, se trouvais un bureau noir, ou était disposer pleins de petits accessoires tels que de bracelets ou colliers et un fond de teint était sur le sol, au pied de bureau. Je bailla un grand coup pour échauffer ma gorge et je m'étira comme un chat. J'ouvris mon armoire et j'essayais tan bien que mal de trouver des vêtements pour aujourd'hui.

Car c'est le grand jour ! je suis inscrite au pensionnat Tsubasa et il faut que je mis rend pour terminer de faire les papier. Et bien entendu je ne vais pas retourner ici avant un bon bout de temps... je trouvais alors des vêtements qui allaient très bien à la situation don je me trouvais confrontait. Une chemise noire avec un joli noeud papillons et une jupe mi-longue bleu marine. Avec ça je me mis quelques accessoires, boucles d'oreilles et je me fis une petite coiffure, chignons et tous ça, je mis au moins deux heures pour m'habiller. Puis je fis ma valise. Celle-ci était très grande et large, mais je pense que ça ne suffira pas. Effectivement, quand j'us fini de faire ma valise, celle-ci ne fermait pas. Je m'étais le reste dans un sac à part et descendit au salon.

J'avalais un jus d'orange très rapidement, car j'étais déjà bien en retard puis je pris soins de refermer tous les volets, de prendre mes clefs et de bien fermer l'entrée de l'appartement. J'attendis le bus assez longtemps ce qui faisait qu'alourdir mon appréhension et mon stress. Effectivement, j'étais tellement stressé que j'étais plié en deux et je me brûlais le ventre inconsciemment à cause de ce que j'appelais "cette fichu malédiction" je ne contrôle pas ce machin, mais tout ce que je sais, c'est qu'il est très dangereux. Et quand je ne le contrôle pas, je brûle tout ce que je touche...

J'oubliais vite ses pensez au sujet de cette malédiction, car mon cerveau voulait penser à autre chose. La pension. Oui, j'imaginais une école stricte, tous en uniforme montant jusqu'au menton et des cours à la baguette magique. Comme dans Harry Potter quoi ! ou alors... Des éléphants roses ! des rats géants... Tout cela me faisait rêver, peut être se trouvait-il las bas, des lapins blancs qui parlent, une reine de coeur, comme dans mon livre !

Mais il ne fallait pas trop rêver... Je décidais de ne plus rien penser, de peur d'être déçu.
Le bus arriva enfin. Je montais dedans et brûla une chaise au passage. Le bus était vide et le chauffeur pas très sympa.

<< Ah, j'ai peur... >>

le bus s'arrêta. Mon coeur battait de plus en plus. Je descendis avec joie et commença à marcher longuement. Je tombais alors sur un endroit bizarre, il y a avait personne. Un bâtiment assez normal. Je sonna à la porte de ce grand bâtiment et il ne s'ouvrit pas tout de suite. J'ai dû attendre quelque longue et interminable minutes avant que le portail s'ouvre me laissant entrer dans le hall. Personne. Ah ce n'étais pas ma chance ! Pas du tout même !

Personne a l'horizon, le silence complet et le bruit de ma respiration se faisait entendre. J'avais un peu peur, oui peureuse que je suis ! Je restais planter la pendant une demie heure. Et faillit m'endormir. Je n'ai pas le sens de l'orientation, donc aller m'aventurer dans cet endroit toute seule, non, ce n'était pas pour moi, je n'en sortirais jamais ! Puis je découvris une affiche. Institut Tsubasa ? On j'étais au bon endroit. Bonne nouvelle. J'affichais un grand sourire, mais il disparut très rapidement.

<< Bon, je vais pas rester planter là, toute ma vie !! ... J'attend encore un peu et j'essaye de trouver le bureau du directeur...>>



[right][HRP: Désolé, c'est assez cour mais je 'n'ai pas d'inspi u_u désolé aussi pour les fautes, j'ai un peu de mal avec =''( ]

La première partie du trajet nous menant à Tsubasa Gakuen s'effectua par taxi et se déroula sans anicroches particulières. Bon d'accord, je n'arrêtais pas de saouler Mister avec mes bavardages -et peut-être aussi le chauffeur de taxi-, mais j'étais beaucoup trop excité pour me taire. Y avait-il des jardins à perte de vue autour de cette école ? Avec un labyrinthe où se promenaient librement des minautores qui, de temps en temps, faisaient d'un des élèves de l'académie leur déjeuner ? Le manoir était-il sculpté dans l'or le plus pur ? Y avait-il des toboggans géants permettant de se rendre rapidement aux étages inférieures ?...

*Cela m'étonnerait grandement que l'école ait une piscine privée semblable à un parc aquatique où l'on pourrait nager avec toutes sortes d'amphibiens et de mammifères marins.* M'interrompit par télépathie Mistigris alors que je partais dans des élucubrations de plus en plus loufoques ; *Il est aussi inconcevable que cet institut puisse posséder plus d'une centaine de passages secrets et qu'il y soit commis chaque semaine un nouveau meurtre en chambre close. Cesse donc de te projeter dans un monde rocambolesque et illusoire si tu ne veux pas être déçu. Gratte-moi plutôt derrière les oreilles veux-tu.*

Malgré sa mise en garde, je continuai à lui faire part de mes suppositions jusqu'à ce que notre chauffeur fut stoppé par la barrière surnaturelle protégeant Tsubasa Gakuen -sans en comprendre le pourquoi ni le comment- et que nous fûmes donc obligé de poursuivre notre chemin à pied. Mister me poussait sans arrêts à avancer plus vite. Je ne pense pas qu'il était pressé d'arriver à notre destination : il cherchait juste à me fatiguer le plus possible afin que je ne puisse pas continuer à bavasser. Et effectivement, je passai le second trajet à marcher en silence tandis que lui me faisait remarquer les particularités de la faune et la flore de la forêt que nous traversions : là se tenaient des pins, et ici des cryptomères géants. Autour de nous résonnaient les chants ininterrompus et légers de rossignols. Dans les fourrés à droite, un lièvre noir s'éloigna précipitamment à notre approche...
Contrairement à ce que Mister avait prévu, je ne fus pas déçu par l'allure de l'école : elle était immense. Je vis plusieurs bâtiments qui l'entouraient et paressaient être des temples ou des dojos -je n'ai jamais su faire la différence entre les deux : pour moi, c'est la même chose-. Je savais déjà que je n'y mettrais jamais les pieds, car je n'étais ni très pratiquant, ni très sportif.

"-A ton avis, c'est quoi la prochaine étape ?" Demandai-je à Mistigris comme je ne savais pas moi-même où nous devions nous rendre.

"-Pour toi, je ne le sais pas et peu m'importe. Mais moi, je vais me laisser porter par le vent."

Il disparut aussitôt et je vis un léger nuage grisâtre s'éloigner de moi et s'enfoncer dans la forêt. Je soupirai : j'aurais du me douter qu'il m'abandonnerait à mon propre sort. Mais bon, tant pis. Avec ou sans lui, j'allais trouver mon chemin.
En effet, quelques minutes plus tard je me trouvais dans le hall de l'institut Tsubasa, partagé entre l'émerveillement que m'inspirait la beauté des lieux et l'appréhension en pensant que j'allais devoir me faire une place dans un monde dont j'ignorais encore tous les composants. Mais je restais quand même très optimiste sur ce dernier point : je n'avais pas mauvais caractère et était d'un naturel très curieux, donc je devrais normalement n'avoir aucun mal à me faire des amis et à m'informer sur tout ce qui concernait le lien qui me reliait à Mistigris et nos pouvoirs.
Lorsque j'admirais le hall, mon regard était surtout dirigé sur les immenses lustres au plafond ou sur le parquet vernis qui me renvoyait une image fidèle de moi-même comme un miroir. Aussi je n'avais pas remarqué la jeune fille qui se tenait devant le panneau d'affichage. Ce ne fut que quand j'interrompis ma contemplation des lieux pour choisir quelle porte j'allais ouvrir que mes yeux se posèrent sur elle. Elle semblait lire une affiche sur le panneau, mais je ne pouvais rien dire de plus sur ce qu'elle faisait car elle était dos à moi. Elle possédait des cheveux châtain très lisses qui s'arrêtaient en dessous des épaules et qui avaient de nombreux reflets dorés. Le bleu-marine de sa jupe faisait ressortir la pâleur de ses fines jambes. Je supposai qu'elle venait d'arriver à l'institut car, tout comme moi, elle avait une valise à la main. Etait-elle aussi perdue que moi ? Si c'était le cas, nous ferions mieux de chercher ensemble le bureau du directeur que chacun de notre côté. Je me décidai donc à l'aborder.

"-Alors ? On est perdu ?" Lui demandai-je une fois que je me retrouvai devant le panneau d'affichage à ses côtés ; "Et si on se perdait à deux ?"

J'étais toujours planté devant le panneau d'affichage, à regarder les divers annoncent. Ah, c'est toujours comme ça quand on est nouveaux ! On ne trouve même pas le plan. Par contre, quand on est ancien, ont le trouve facilement, alors qu'il était au fait avant, juste planter sous notre nez ! Je mis ma main sur le manche de ma valise et je commençais vraiment a stressé. Ma main devenez de plus en plus chaude et je faillis brûler ma valise, mais de justesse, j'enlève ma main qui, petit a petit revenait à sa température normal. Je poussais un "aïe !" d'extrême douleur et soudain j'entendis un bruit. Naïve comme je suis, je ne fis pas attention à ce bruit, car je pensais que c'était un machin qui avait dû tomber. Oui, pas maligne du tout, je sais ! et je n'ai pas l'intention de le répéter. Puis une voix résonna et je faillis avoir une crise cardiaque. Je sursautais, faillit tomber à la renverse, mais me rattrapa sur ma valise qui elle, tomba dans un brouhaha assourdissant. Mon coeur battait de plus en plus fort et repris soudainement ses battement normaux quand je vis quelqu'un, plus exactement un garçon se tenait à côté de moi. J'affichai un sourire gêné et essaya de placer quelque ... Mots.

<< "Ah ! Je suis désolé, je suis maladroite ! Gomen... Excusez-moi ! Vous m'avez fait... Peur..." >>

Dis-je en récupérant ma valise qui était sur le sol est déjà très abîmes. Mais le manche crama instantanément. J'enlevais alors vite cette satané main de ma précieuse valise avant que celle-ci crame aussi.

Je décidai de mettre mes mains derrière mon dos, espérant qu'elles ne crament pas mon uniforme tous neuf.
Puis mes yeux se posèrent sur le garçon que j'avais ignoré pendant deux ou trois secondes le temps de régler certain problème...
Il était beaucoup plus grand que moi déjà et je le regardait de haut. Il avait peut-être... 10 centimètres de plus que moi... Il était habillé en gris et noir et avais des mèches un peu partout sur le visage. Je secouais vivement la tête et repensa à sa dernière phrase que j'avais complètement oublié.
Je souriais, un petit sourire qui ne laissait pas paraître mes dents, même si elles étaient parfaites.

<< "ça ne me pose pas de problème ! Par contre, par où commençait ? C'est tellement immense ! je n'aurais jamais vu cet endroit comme ça ! ..." >>

je m'arrêter la pour attendre une réponse du jeune homme. Puis je me retourna et fit un geste de la main.

<< "On y va ?" >>

Mais là je m'arrêta net. Oui, j'avais oublié un truc. Quelque chose que personne n'oublierait en tant normal. Je me retournais lentement et le regarda dans les yeux.

<< " Ah, j'allais oublier ! Je m'appelle Alice ! Et Toi ?" >>

Puis je m'avançais vers lui pour lui serrais la main, ce que je me ravisais de faire, de peur de faire encore brûler quelqu'un d'autre. Je mis mes mains derrière mon dos et essaya de ne plus les bouger. Et de ne plus rien toucher surtout ! J'affichai un regard gêné.

<< "Ah désolé, je contrôle pas mon pouvoir donc je ne préfère pas te serrait la main..." >>

Impatiente de visiter cet endroit de fond en comble, de tout fouiller, je n'allais pas attendre ces réponses trop longtemps.

Il fallait croire que je n'aurais pas du ouvrir ma bouche, vu la surprice que je provoquai chez la jeune fille quand elle s'aperçut qu'elle n'était pas seule devant le panneau d'affichage. Sa valise l'empêcha de s'écrouler au sol et tomba à sa place en faisant un grand fracas. Je me retins d'éclater de rire et cachai mon sourire avec ma main gauche : il aurait été idiot de la mettre encore plus mal à l'aise qu'elle ne l'était déjà, surtout si j'avais l'intention de m'en faire une amie. Elle aurait pu croire que je me moquais d'elle et le prendre très mal, alors que ça aurait été plus un rire nerveux qu'un rire moqueur. Et oui, je pense que j'étais tout aussi gêné qu'elle.
Quand elle s'excusa de sa réaction tout en ramassant sa valise, j'eus la stupéfaction de voir le manche de celle-ci brûler au contact de la main de sa propriétaire. Puis je me rappelai que je n'étais pas tout à fait normal moi non plus et dissimulai mon étonnement.
J'enlevai ma main de devant ma bouche et prit une mine penaude.

"-Je dois être vraiment affreux alors." Dis-je d'un ton faussement attristé.

Juste après cette déclaration, je lui fis un clin d'oeil afin qu'elle comprît que je plaisantai. Elle me dévisagea longuement avec des yeux d'une drôle de couleur -un mélange de vert, de marron et d'ambre- et je finis par me demander si j'avais une apparence étrange pour elle. Je vérifiai d'un regard que tout était correct dans ma tenue -j'avais toujours mon sweat-shirt gris, mon pantalon de toile noire n'était pas tombé et je portais encore mes basckets rayées noir et blanc- puis je relevai la tête quand elle me parla.

"-Nous n'avons qu'à ouvrir tour à tour chaque porte du hall et nous verrons bien !" Répondis-je en haussant les épaules.

Je mis les mains dans les poches pour me donner un air décontracté et commençai à m'avancer vers la porte la plus proche à sa suite, quand elle s'arrêta soudainement et se retourna vers moi pour se présenter.

"-Moi c'est Saru." Répliquai-je en lui offrant un sourire franc.

Je faillis lui serrer sa main quand elle me la tendit, mais elle parut se rappeler de quelque-chose et cacha ses deux mains derrière son dos. Je me souvins alors de ce qui était arrivé à la poignet de sa valise et me contentai de lui tapoter gentiment l'épaule. Ce n'était sûrement pas facile pour elle tous les jours avec un tel pouvoir, surtout s'il se déclenchait quand elle était gêné ou quand elle ressentait une émotion forte.

"-C'est pas grave. Au moins, tu n'as pas un regard de braise. Je n'aurais pas aimé me consumer rien qu'en te regardant dans les yeux. Ça aurait été la dernière belle chose que j'aurais vu dans ma vie." Je m'éclaircis la gorge, embarrassé par ce que je venais de sortir, et continuai ; "Bon, si on y allait ?"

J'esperai qu'elle ne ferait pas de commentaires sur le compliment que je lui avais fait involontairement. Surtout qu'on venait à peine de se rencontrer. Ça pouvait lui paraître déplacé...

J'avais toujours mes mains derrières mon dos et je me concentrais pour ne rien toucher surtout. Je n'aurais pas l'argent nécessaire pour payer les dégâts et en plus de ça, je risquerais d'être renvoyé aussitôt arriver. Puis, il me dit son prénom. Saru ? Ok, mais je réfléchissais déjà à un surnom débile. M'enfin bon, je pense que ce n'était pas le moment de réfléchir a ça. Peut être dans deux ou trois mois, qui sait ! Je prononcerais peut-être ce drôle de surnom... Mais pour l'instant, j'allais me contenter de l'appeler Saru.
Puis il parla et comme j'étais déjà dans les nuages je secouais la tête pour reprendre mes esprits.
"-Nous n'avons qu'à ouvrir tour à tour chaque porte du hall et nous verrons bien !"
Bonne idée et peut-être que part chance nous trouverons le bureau du directeur ou au cas contraire, nous trouverons des pièces très bizarres. Ne cherchez pas à comprendre.

<< " Ca me va ! " >>

Dis-je tous simplement. Il me tapota l'épaule au lieu de me serrer la main, ce que je trouvais très intelligent de sa part xD
Je dévisageais ma valise du regard. Elle était beaucoup trop lourde pour que je la transporte et comme la poignée avait cramer juste avant, je ne pouvais pas la pousser. Bon, je vais la laisser là, elle ne fera de mal a personne. Et en plus, je n'est rien de trop personnel, à part quelques vêtements qui m'ont coûté beaucoup trop cher pour vous citer le prix.
Je leva brusquement la tête quand Saru se remit à parler.
"-C'est pas grave. Au moins, tu n'as pas un regard de braise. Je n'aurais pas aimé me consumer rien qu'en te regardant dans les yeux. Ça aurait été la dernière belle chose que j'aurais vu dans ma vie."
La je me sentit terriblement gêner et je pense que c'était réciproque pour lui vu la façon dont il venait de réagir. je décida alors de ne rien dire, et me contenta de sourire. Bon, d'accord je l'avoue, je croyais que c'était un sourire normal, mais j'afficher au fait un sourire super gêner.
"Bon, si on y allait ?"
ah! Oui, bonne idée! Très bonne idée même. Je ne chercha pas a comprendre et répondit tout de suite, parce-que vu nos têtes, il fallait réagir très vite xD

<< " Oui, bonne idée! Par laquelle ont commence ? " >>

Questions très bête de ma part car il n'y en avait pas beaucoup. J'ouvris alors delicatement la porte qui était sur ma droite a l'aide de la manche de mon uniforme pour ne pas cramer la poignet. Et deviner a quoi menait cette porte ? a rien! Juste un mur de brique! j'afficha un regard d'incomphréension total et lâcha un "pfft..."
A quoi cela peut bien servir de faire des portes comme ça ? cela na aucun sens ! Je regarda alors le grand escalier de marbre. Il y avais beaucoup de marche, et si je devais monter tous ça pour atteindre le bureau du directeur (si il ne se trouvais pas dans le hall) je ne sortirais pas de cette épreuve vivante. J'eus un frisson a cette pensé et ouvrit une autre porte de la même façon que j'avais ouverte la première. La je vois une loge avec une grande photocopie et plusieurs ordinateur. Une simple loge qui était pourtant décorer de lustres en or... Ah , qu'est-ce que j'aimerais travailler dans cet établissement! je me retourna vers Saru.

<< " Plus que trois portes. Si le bureau du directeur n'est pas ici, il va falloir visiter toute l'institut" >>

Dis-je en frisonnant. Je referma delicatement la porte avec la manche de mon uniforme et en fixa une nouvelle.

[HRP: dans la dernière partie il doit y avoir pleins de faute car j'ai du recommencer la fin a cause d'une mauvaise manip' -- Désoler ! ]

Alice eut la délicatesse de ne pas faire de remarques sur ma précédente réplique et je lui en fus intérieurement reconnaissant. Elle semblait être une fille attentionnée, qui veillait à ne pas blesser les autres, surtout quand il leur arrivait de faire des bêtises. Ou alors, elle ne s'était pas rendue compte que je l'avais inconsciemment complimenté. Dans ce cas, elle devait avoir la tête dans les nuages. Mais je ne savais pas lequel de ces deux traits de caractère lui attribuer, ni celui qui m'aurait vraiment arrangé. Si elle était attentionné, elle se serait rendue compte de ma bévue et en aurait ris en son for intérieur. Et si elle était une grande rêveuse, la plupart de mes blagues passeraient inaperçues...
Oh et puis, peu importe !
J'observai Alice ouvrir la première porte. Tout comme elle, je fus surpris de voir que celle-ci s'ouvrait sur un mur de briques, mais j'éclatai de rire en voyant la mine déconfite de ma camarade qui, il fallait le dire, n'avait pas l'air de s'en remettre. Cependant, après quelques secondes de réflexion, elle se déplaça sur sa droite pour ouvrir une autre porte et je partis en ouvrir quelques-unes de mon côté, histoire de faire quelque-chose d'utile moi aussi. Je tombai sur deux couloirs s'enfonçant dans les ténèbres -d'où auraient pu émerger des vampires et autres créatures de la nuit sans que cela me surprît- et une salle ronde totalement vide avec une parfaite acoustique, où je m'amusai à crier "Luke, je suis ton père" puis écoutai l'écho de ma phrase amplifiée par la salle. Finalement, je retournai auprès d'Alice aussi bredouille qu'elle.

"-Plus que trois portes. Si le bureau du directeur n'est pas ici, il va falloir visiter tout l'institut."

Je savais qu'elle avait raison, mais ça ne m'enchantait pas le moins du monde. En d'autres circonstance, j'aurais été ravi d'explorer l'institut. Mais là, ma valise me semblait être de plus en plus lourde au fur et à mesure que le temps passait -sûrement la conséquence de la longue marche forcée que Mister et moi avions du faire pour atteindre Tsubasa Gakuen- et je commençais à avoir faim.
Soudain, une idée me traversa l'esprit et je me dirigeai vers la première porte qu'Alice avait ouverte -celle qui était soi-disant sans issue parce-qu'il y avait derrière elle un mur de briques-. Je l'ouvris et contemplai à nouveau le mur. Il semblait être tout ce qu'il y avait de plus réel... Mais c'était sûrement là que se trouvait l'illusion. Je reculai d'une dizaine de mètres, fermai les yeux puis, après avoir pris une grande inspiration, courus droit dans le mur.

SBAM

Le bruit de l'impact résonnait encore dans mes oreilles quand je me rendis compte que j'étais allongé sur le sol. J'avais foncé sur un mur tout ce qu'il y avait de plus réel et avait donc été propulsé sous la force de la collision à quelques mètres de celui-ci. Donc, je m'étais trompé.
Merde, ça faisait un mal de chien !

"-Je me suis dit que, peut-être, il suffisait de foncer sur le mur pour trouver le bureau du directeur. Comme pour trouver le quai 9 3/4 dans Harry Potter." Expliquai-je à Alice tout en m'asseyant en tailleur sur le sol.

Je décidai de rester assis un moment de peur que, si je me levais trop rapidement, je retombasse brutalement sur mon postérieur, encore étourdi par le choc. Les yeux fermés, je me massai le front pendant quelques secondes pour faire partir le mal de tête qui m'embrouillait le cerveau. Enfin, je les rouvris et me levai lentement.

"-Mais c'est un mur de briques comme un autre, sauf qu'il est derrière une porte." Conclus-je avec une grimace de douleur.

Quelle idée de construire un mur à cet endroit aussi ! C'était sûr qu'un jour ou l'autre quelqu'un se serait posé des questions et aurait pensé à la possibilité que ce fut une illusion. Il fallait vraiment être un débile profond pour ériger un mur derrière une porte.

*Et il faut être encore plus débile pour courir droit dans celui-ci.* Me répliqua Mistigris d'un ton moqueur par télépathie.

Je l'ignorai et fis un sourire à Alice afin de la rassurer sur mon état aussi bien physique que mental. Même s'il se trouvait à plusieurs kilomètres d'ici, Mister avait à priori assisté à toute la scène et s'en était régalé. D'autant plus qu'il partageait mes pensées et savait donc ce que j'avais eu l'intention de faire. Mais il ne m'avait pas arrêté, lui qui savait sûrement à l'avance ce qui se serait passé. Lui qui savait que j'allais m'en sortir avec de violentes douleurs aux tempes.

*Tu as tout compris !*

Son rire sournois résonna dans ma tête et fit augmenter l'intensité de mon mal de crâne. Je me massai à nouveau le front tout en pestant intérieurement contre Mistigris et, un peu aussi, contre moi-même. J'aurais du me méfier de mon imagination débordante, comme me le conseillait souvent mon ami le chat sournois. Mais c'était plus fort que moi. A chaque fois, je me disais que ce n'était qu'un rabat-joie, un enquiquineur de première. Au moins, cette mésaventure m'aurait appris quelque-chose : il fallait toujours l'écouter, ce chat.

[HRP : Pas grave pour la dernière partie. Après tout, ça arrive à tout le monde de faire des fautes ]

Saru Rigola quand j'ouvris la porte "piéger" . En effet, si quelqu'un essayais de fuir et qu'il ouvrais cette porte, il allais se prendre le mur en pleine face. Et ça, je peut vous dire que ça fais mal parce que j'en ai eu l'affreuse expérience. Oui. Je fuyais a quelqu'un de mon école quand j'étais plus petite, et il y avais un virage. Débile comme je suis, je ne l'avais pas vu et me pris un mur en pleine tête surtout que je courrais très vite.
Saru Ouvrit d'autre porte, s'amusant a crier a l'intérieur d'une pièce vide pour entendre son écho ce qui me faisait rire un peut.
Puis il revient alors soudainement vers moi. ont avez ouvert toutes les portes et rien! Ah, il fallait visiter l'institut. *normalement, une salle importante, et encore plus le bureau du directeur, c'est pas dans l'Institut, mais dans le hall. Ah , sa m'énerve ça . *
Je passa une main dans mes cheveux car j'avais les mèches du côté qui me cachait le visage. Je m'assis sur un banc, histoire de me reposer un peut en voyant toutes les marche qu'ont devait franchir, et en plus, les architecte n'avais même pas imaginer un ascenseur.

<< "Bon, vu tous le parcours qu'ont va faire, je propose qu'ont se repose cinq minutes avant non?" >>

En tous cas je m'étais déjà assis sur le banc blanc qui était a côté de moi. Je soupira. Ah, je le savais! Cette journée aller être une sale, très très sale journée.
Je ferma les yeux et souffla. Puis je les ré ouvrit lentement, et je vit Saru qui était a une dizaine de mètre de la porte "piéger" et il fermer les yeux.
Bon, là je voyais déjà la scène passer devant mes yeux et essaya de l'arrêter.

<< "Non !... ">>

Mais trop tard, il était déjà en train de foncer sur le mur et comme je l'avais prédis, il s'étala lamentablement sur le sol. Aïe, que çà devais faire mal !! Oui, très mal.
Terriblement inquiète car il ne se relever pas, je courra vers lui.
Bon, il semblais costaud car il s'assis lentement.

<< "ah ,mais tu m'a fais une de ses peur ! Préviens moi quand tu fais ce genr de truc, que je t'arrête avant! Mais qu'est ce qui ta pris? ">>

Dis-je d'un ton inquiet. Aah ! Il m'avais fais tellement peur que je faillit m'évanouir. J'ai un coeur sensible moi hein!
je faillit lui tendre la main quand j'epnpoigna la manche de mon uniforme. Puis j'inspectai son front. Une énorme bosse se trouvais sur le front de Saru et je grimaça en voyant cela. Oui , je n'aimais pas voir les blessures, même les plus minimes.
Puis la scène se reproduit dans ma tête et j'éclatai de rire. Un rire que j'arreta vite quand il se releva.

<< "oups désolé, c'est sortie tous seul. Tu fais toujours des trucs comme ça? Enfin, je veut dire... Tu fonce toujour s'en réfléchir ? Avec un mur en face quand même>>

Dis-je en regardant l'énorme bosse qui occuper son front. Puis je rit encore un peut, car je disais ca au deux sens du therme XD

Le jeu de mots sur ma manie de toujours foncer sans réfléchir était si bien trouvé que je ne pus m’empêcher de m’esclaffer. Une réaction que je regrettai tout de suite après, car mon mal de tête s’intensifia brutalement et m’arracha un gémissement. Cependant, je me forçai à sourire à ma camarade pour la rassurer. Inutile de me plaindre auprès d’elle car ce n’était pas sa faute si je m’étais dit que foncer dans un mur serait une bonne idée. J’étais la seule cause de ma mésaventure. Inutile aussi de me morfondre sur moi-même : ma migraine finirait très vite par s’estomper. Le lendemain, je serais à nouveau en pleine forme, frais et dispo’ pour faire le pitre. Il suffisait juste de bien dormir ce soir et de ne pas m’embourber dans un quelconque problème d’ici là. Sauf si j’y étais obligé.
Je m’aperçus qu’Alice ne quittait pas mon front des yeux et j’en déduisis donc que je devais avoir une belle bosse. Mais ça ne me préoccupait pas tellement pour le moment, car je me demandais surtout si je pouvais révéler à la jeune fille que ce genre d’évènements m’arrivait très régulièrement. Je ne voulais pas l’effrayer et perdre l’occasion de construire une belle amitié avec elle. Puis je me dis que, au moins, elle serait prévenu.

"-Oh , non. Ça m’arrive rarement. » Commençai-je sur un ton détaché en ne laissant rien transparaître de mes émotions sur mon visage.

Je parcourus du regard le hall avant de fixer celui-ci sur les yeux si particuliers d’Alice. Lentement, j’esquissai un sourire complice.

"-Seulement quand je suis réveillé !" Déclarai-je finalement.

En même temps, quand on dormait, on ne pouvait pas faire grand-chose à par rêver. Quoiqu’il m’était déjà arrivé d’éternuer en dormant, ce qui avait provoquer une puissante bourrasque dans notre appartement et avait réveillé mon frêre. Moi, j’avais continué à dormir paisiblement pendant que celui-ci s’était mis à ranger ce que j’avais involontairement dérangé. Quant à Mister, il avait, bien entendu, assisté à toute la scène mais n’avait pas eu l’envie d’aider Haru. Il y a très peu de choses d’ailleurs qu’il a envie de faire…

*Je suis toujours là.* Me rappela une petite voix dans ma tête.

"-Bon ! On n’a plus qu’à monter je suppose ?" Demandai-je en montrant du doigt l’escalier de marbre blanc qui menait sûrement à ce cher bureau directorial que nous n’arrivions pas à trouver.

*C’était l’évidence même depuis le début ! Le bureau de quelqu’un d’aussi haut placé dans une école ne peut se situer qu’aux étages supérieurs.* Fit remarquer Mister sur un ton dédaigneux.

*Va chasser des lapins toi!* Répliquai-je, agacé.

*Très bien. N’essaye pas de me demander de l’aide alors, si tu as un problème. Les lapins sont plus intéressants que deux adolescents pitoyables en perdition.*

Et il s’en alla. Je faillis pousser un soupir de soulagement mais je me retins : Alice n’avait pas assisté à l’échange télépathique entre Mistigris et moi. Elle aurait trouvé cela bizarre si j’avais paru soulagé alors que nous ne savions toujours pas où se trouvait le bureau du directeur. Sauf si je lui expliquais que je discutais avec ma bête en pensée. Mais j’ignorais si cette capacité était commune à tous les élèves de Tsubasa Gakuen et je choisis donc de ne rien dire pour le moment.

j'entendis Saru qui ria si fort que sa voix résonnait dans l'immense hall. On était peut-être un peu pommé je l'avoue, mais ont s'amusaient bien, c'était ça le principal ! J'espérais vraiment que mon pouvoir n'allait pas refaire des siennes, car il m'obligeait à me montrer froide, pour qu'il ne fasse de mal a personne. Puis il arrêta de rire, surement parce qu'il devait avoir très mal à la tête. C'était évident, quand on fonce sur un mur la tête la première, ont à des séquelles ! Cette pensée laissa afficher un sourire sur mon visage. Quand il me parla. "-Oh, non. Ça m'arrive rarement. » Bien entendu, je n'y croyais pas du tout. Quand cela arrive "rarement" on demande avant à la personne qui est à côté de sois. "-Seulement quand je suis réveillé !" Ah, voilà un peu d'honnêteté ! je commençais à rire. Au moins j'étais prévenu ! Puis je marchais dans le hall regardant la beauté des lieux. Bon, ont n'avais plus qu'a visité l'institut ! Voilà qui me gêner fortement, car je n'avais vraiment pas envie de bouger de là. J'allais commencer à parler quand Saru m'arracha les mots de la bouche. Oui, il fallait visiter l'institut.. Je lâchais un soupire. Si seulement j'avais le pouvoir de la téléportation, tous serais déjà terminer ! Ouis je le reconnais, je faignante, c*nne et chiante. Et alors ? Cest mon caractère je vous signal ! Encore heureuse que j'arrive à cacher ces traits de mon caractère. Remarque, fallait bien qu'un jour, je le montre. Ce qui ne me fis pas sourire. Mais Saru poussa un soupire de soulagement. J'afficha un regard plein d'interrogation. Peut être qu'il aimait la marche a pied. He ben pas moi !

<< " Bon... Va falloir monter tout ça ? Et il y a même pas d'ascenseur en plus !" >>

Dis-je comme si c'était un caprice de petite fille. Soudain, je ressentis une brusque douleur à la tête. Ah, que ça me faisait mal ! de toute façon, il n'y avait pas une journée sans que j'ai mal quelque part. Mais c'était étrange. C'était pourtant pas moi qui avait foncer sur un mur de brique !
Je lâcha un "aîe". Tellement que la douleur était forte, mon pouvoir se mit automatiquement en marche et me crama la main.

<< "Ah, C'est quoi ce truc encore ?!" >>

Dis-je énerver. ah! mais quelle reflexe! jamais je n'aurais du faire ça! car ce satané pouvoir continuer a samplifier laissant apparaitre une boule de feu de la taille de ma main.J'essayais de me calmer avant de la lancer sur quelque chose, et hereusement pour moi ca marcha. Il ne restais plus qu'a suporter ce mal de tête pour le moin... Insuportable...Je lanca un

<< "Bon, ont y va ? ">>

d'uen voix froide. Voilà que je m'élançais déja sur les marches de l'escaliers.

[ HRP: désolé c'est super court u_u ah et tu veut qu'ont continue au première étage ?]

Alice n'avait pas du tout l'air ravie qu'on dût monter les escaliers : tout en faisant une moue que je trouvai adorable, elle se plaignit de l'absence d'ascenseurs dans l'Institut. Je ne pus m'empêcher de pouffer en la voyant réagir ainsi, malgré que si je fusse tout à fait d'accord avec elle : j'étais encore plus fatigué maintenant que je ne l'étais en arrivant, vu que je m'étais proprement jeter contre un mur, et que je m'en étais sorti avec une effroyable migraine et une belle bosse. J'étais même tellement fatigué que je ne sentais même plus le poids de ma valise. C'était comme si elle avait littéralement disparu.
Non.
Je baissai les yeux sur mes mains grandes ouvertes et bien vides. Où avais-je bien pu poser ma valise ? Tout ce que je me rappelais, c'était que je la tenais encore quand je m'étais mis en tête de me démolir la figure. Après, il me semblait que je ne l'avais plus. Mais je ne me rappelais plus si je l'avais posé par terre où si elle s'était retrouvé propulsé comme moi à un coin du hall sous l'impact contre le mur. Je vérifiai en balayant le hall du regard et j'eus une mine déconfite en me rendant compte qu'elle n'était nulle part. Ce n'était pas la seule chose qui manquait d'ailleurs : la valise de ma camarade avait elle aussi disparue. La grande question était : où étaient-elles passées ? A moins que nous en avions fait quelque-chose et que nous l'eussions oublié.
Ah, alzheimer, quand tu nous tiens !

"-Ah, c'est quoi ce truc encore ?!" S'exclama furieusement Alice.

"-Quoi ? Tu as retrouvé nos valises ?" Demandai-je en continuant de fouiller du regard le hall.

J'entendis soudain le bruit d'un feu qu'on allume derrière moi et me retournai. J'en restai sans voix : une boule de feu était apparue dans la main de ma camarade. Certes, elle n'était pas énorme, mais c'était un exploit pour moi qui n'avait jamais vu de cracheurs de feu ou d'autres genres d'incendiaires. Malheureusement, le spectacle ne dura pas longtemps : le feu diminua rapidement pour finalement disparaître en fumée. Je m'apprêtais à applaudir avec enthousiasme, mais en voyant la mine sombre qu'arborait Alice, je me retins, me disant que ce n'était peut-être pas une bonne idée. Surtout si je ne voulais pas finir carbonisé dans la minute d'après.

"-Bon, on y va ?" Me dit-elle froidement.

"-Okay." Me contentai-je de lui répondre par peur de me faire crâmer si je rajoutais quelque-chose d'autre.

Tant pis pour nos valises. Quelqu'un allait sûrement tomber dessus un jour ou l'autre. Nous n'aurions qu'à faire une annonce à l'occasion pour qu'on puisse facilement nous restituer nos affaires. A moins que la personne qui allait les trouver préférât les garder pour elle. Mais franchement, qui d'autre que moi pouvait porter du gris et du noir tous les jours sans s'enfoncer dans une dépression nerveuse et un profond désespoir ? Bon, il y avait peut-être des gothiques dans cet institut. Mais mes vêtements n'étaient pas assez originaux pour être porté par un gothique. Donc, j'avais toutes les chances de récupérer mes affaires. Quant à Alice, je ne savais pas du tout si elle les récupèrerait un jour. Elle paressait être une fille qui s'habillait tous les jours avec des vêtements chics mais pas trop excentriques non plus. Bref, des vêtements qui plairaient à tout le monde.

[HRP: C'est pas grave pour la longueur. Moi non plus j'ai pas écrit grand chose, alors... Je suis d'accord pour continuer au premier étage. A toi l'honneur de poster : je ne peux pas le faire car je dois partir. ]

D'accord avec plaisir ^^

le sujet est ici : https://tsubasa-gkn.forumsactifs.net/les-couloirs-f18/a-la-visite-de-l-institut-t173.htm#1243

Sujet terminé !