Histoire :
Chapitre 1 : Mya, l'enfant du diable.L'histoire de cet enfant commence comme tout vulgaire humain : à l'hôpital, dans la pièce communément appelée chambre numéro 666. Étais-ce un signe? Les croyants, les superstitieux, les peureux, ou tout autre synonyme de ce genre de personnes évitent généralement de se retrouver dans cette chambre, mais là, les médecins n'avaient pas le choix, c'était cette chambre ou alors la patiente accouchait dehors! C'était une urgence, en plus de devoir mettre au monde son enfant, cette femme était dans un état fiévreux anormal et il fallait à tout prix la prendre en charge au plus vite ou alors elle allait mourir. Vite ou pas, c'est ce qui lui arriva.
Chaud. Très chaud. Brûlant. Carbonisant. Un véritable brasier… C'est exactement la définition qui correspondait à la situation qui se déroulait. Plus l'enfant était sur le point d'arriver, plus la chaleur devenait insupportable. La patiente criait, se tordait de douleur, elle n'en pouvait plus. Elle réclamait de l'eau sans cesse car elle avait tout simplement l'impression de totalement se dessécher. Les médecins n'arrivaient pas à expliquer ce qu'il se passait. Son état était des plus anormaux. La chaleur à l'intérieur de son corps était comparable à un incendie. Un incendie ravageant tout sur son passage, les organes de cette pauvre femme était en train de cuire. Elle ne resta pas en vie plus de 5 minutes après que le travail eu commencé. Elle avait vécue la pire mort qu'il soit : brûlée vive de l'intérieur. Chaque membre de son corps s'effritait jusqu'à devenir cendre. C'est dans ces cendres que l'on retrouva l'enfant.
L'enfant du diable.
C'est le titre que ces humains avaient choisis pour crier au monde entier l'évènement qui s'était déroulé à l'hôpital.
"Jeudi 9 août 1993 : Un évènement abominable et surnaturel s'est produit à l'hôpital Fumitake de Tokyo. Chambre 666, un médecin sur les lieux déclare : "cette femme a accouché de l'enfant de Satan!" En effet, la patiente est morte dans des circonstances affreuses, elle a été brûlée vive de l'intérieur alors qu'elle souhaitait accoucher de son enfant. Des flammes sorties de nul part consumèrent tout son corps. Au retour des médecins dans la chambre (qui avaient fuient devant la réincarnation même du diable) ils découvrirent l'enfant de la patiente, en parfaite santé, pataugeant dans les cendres de sa mère. Alors que l'enfant allait être emmené le lendemain matin dans un laboratoire, certains parlent d'un enlèvement qui aurait était effectué durant la nuit. D'autres affirment que l'enfant est repartis dans les flammes même de l'enfer. Nous partageons tous cette déclarations."Pathétique... Les hommes ne sont que de pauvres êtres facilement apeurés et manipulables. Il suffit de leur dire que la fin du monde est proche pour que tout le monde s'affole. Et pourtant, il y a des exceptions...
Chapitre 2 : Milovan, le bien-aimé.Milovan, prénom slave signifiant "bien aimé". Ce prénom sciait à merveille à cet homme. Un humain, mais un humain qui avait du cœur. C'est lui qui par cette nuit d'été avait enlevé le bébé. Il avait entendu comme tout le monde les annonces faites à la radio annonçant l'enfant du diable et lui qui était si proche du feu ne pouvait supporter qu'on fasse à un enfant des tat et des tat de test dans un laboratoire. Il le savait, si ça avait été le cas, cette princesse n'aurait jamais survécu. Les scientifiques l'aurait tout bonnement tuée.
Ce rapprochement au feu est dû à son travail. Cet homme est un "cracheur de feu" dans un des cirques les plus renommés. Milovan avait l'habitude de fabriquer des tenues qui ne pouvaient brûler, et ça lui était très pratique pour pouvoir tenir cet enfant. C'était un bel homme. Un homme à la peau mâte et aux yeux d'un vert émeraude, des cheveux de jais et un sourire magnifique. Il avait 26 ans lorsqu'il avait été cherché l'enfant. Un enfant qu'il nomma Mya car c'était une merveilleuse petite princesse.
Au cirque tout le monde l'avait acceptée avec plaisir. Ils avaient l'habitude d'accepter les gens 'à part' bien que là Mya était un spécimen des plus rares. Elle grandit presque comme n’importe qu’elle petite fille, à l’exception qu’elle ne pouvait rien toucher sans porter ses gants en matière ininflammable que lui avait donné Milovan. Ce n’était pas toujours très pratique pour elle, mais avec le temps elle s’y était habituée. Rien n’était très ordinaire pour elle à cause de sa température corporelle. Lorsqu’elle sortait dehors en temps de pluie, on pouvait observer chaque goutte d’eau se transformer en vapeur une fois à son contact. Le moment le plus drôle à raconter pour elle était le jour où Nelly, la voyante de la troupe, avait voulu lui prendre sa température lorsqu’elle était malade : le filet d’encre rouge avait monté à une allure folle pour qu’enfin le thermomètre explose.
Après ça elle s’était tout bonnement dit que rien n’y ferait, jamais nous ne serions exactement le degré de température qu’elle avait exactement, après tout, les humains trouvaient déjà que Mya était bien assez fiévreuse comme ça en tant normal.
Milovan lui observait toujours chacune de ces scènes avec un sourire très léger qui faisait tout juste apercevoir ses délicates dents blanches. Lorsque Mya se retournait vers lui elle ne pouvait s’empêcher de rougir à la vision de ce sourire. Quelque soit l’instant, il s’aimait à la contempler dans ce genre de moment et cela touchait toujours beaucoup la jeune fille. Ce regard qu’il portait sur elle était unique.
Un jour, du haut de ses 9 ans elle s’était doucement approchée de lui dans le but de lui parler. Elle voulait des réponses à toutes ses énigmes. La réponse aux pourquoi.
« Milovan… Pourquoi es-tu toujours là pour moi ? Pourquoi me souris-tu toujours avec autant de chaleur ? Pourquoi n’as-tu pas peur de moi ? »« Parce que tu es ma Mya. Ma princesse des flammes. Je n’ai pas peur de toi car j’aime le feu, et de tous les feux que j’ai pu voir, tu es le plus magnifique de tous. J’étais venu te chercher afin de t’éviter un terrible destin, mais je t’ai gardée auprès de moi parce que je t’ai aimée dès les premiers instants. Grandit vite Mya. Grandit vite et aime-moi comme je t’aime… »Vous pensez que 26 ans c’est un trop grand écart entre deux personnes qui s’aiment ? Nessy était de cet avis également, et pour on ne sait quelle raison encore, elle faisait tout pour que ces deux personnes s’éloignent. Ce qui n’a évidemment pas fonctionné. On ne peut éloigner deux personnes qui s’aiment par la force. Bien que cette femme eu toujours été comme une mère pour Mya, elle ne l’écoutait pas et ne voulait qu’une chose, grandir pour aimer Milovan. Elle ne savait pas ce qu’était l’amour, mais elle connaissait l’attirance. Et ce qui était certain, c’est que Milo l’attirait grandement. De part son sourire, sa voix, son regard, sa musculature et sa façon de jouer avec le feu. Le feu avait toujours attiré Mya, et tout ce qui était comparable devenait irrésistiblement attirant pour la jeune fille.
Jeune fille qui finit par devenir jeune femme. Le jour de ses 17 ans devait être le plus beau jour de sa vie. Elle avait décidé que ce serait LE jour. Le jour où elle annoncerait ce qu’elle ressentait à Milovan. Le jour où elle lui avouerait que ses sentiments étaient partagés bien qu’une pointe de mensonge s’y glisserait car c’était avant tout de l’attirance. Le jour où elle ferait en sorte d’être la plus belle possible afin qu’il ne lui résiste pas.
Une fête avait été organisée pour elle et tous les hommes la déshabillaient du regard comme à leur habitude. Cette jeune femme était entourée de mystère et l’ambiance devenait chaleureuse à chaque endroit où elle pouvait se trouver. Elle était comparable à un feu dont on voulait caresser les flammes mais où l’on reculait la main une fois tout près de peur de se brûler. Un feu insaisissable, sauf pour Milovan. Du moins c’est ce que tout le monde croyait jusqu’au soir du dix-septième anniversaire de Mya.
La jeune femme s’était parée d’une magnifique robe rouge qui dévoilait une partie de ses jambes et de son buste. Elle était lacée noire dans le dos et faisait apparaître des dentelles noires sur les bords. Le rouge et le noir était les couleurs préférée de Milo. Elle le savait.
Mya se rendit donc à la cabane de Milovan afin que ce soit LE jour. Il ne l’avait jamais touchée, et elle espérait de tout cœur qu’il le ferait ce soir.
« Milo ? C’est moi. »« Entre princesse, j’ai quelque chose pour toi »A peine rentrée qu’il l’attendait adossé au mur de la cuisine, toujours avec son magnifique sourire. Et il lançait et rattrapait sans cesse avec agilité une petite boite noire ornée d’un ruban rouge. Ses couleurs encore…
« Qu’est-ce que c’est ? »« Bon j’accepte de l’ouvrir pour toi, mais tu dois me promettre de le porter sur toi tout le temps, ça me ferait très plaisir. »« Hmm… D’accord je te le promets. Tu me montre maintenant ? »« Très bien. Ouvre grand tes yeux ! »Lorsque la boîte s’ouvrit un grand sourire égaya le visage de la jeune femme. A l’intérieur de la boîte se trouvait un collier en or avec pour pendentif une sorte de flamme qui inscrivait en son cœur « MMM »
« MMM ? Qu’est-ce que ça signifit ? »« Tout simplement que Milovan aime Mya. »« Tu n’aurais pas été pêché ça dans un de tes films à l’eau de rose ? »« Bon si je l’avoue, mais là n’est pas la question, ça te plait ? Si ce n’est pas le cas je peux très bien aller le faire fondre et récupérer l’or pour le revendre il y a pas de soucis. »« Arrête idiot. Tu sais très bien que j’en suis déjà folle ! »« Je m’en doutais juste un peu. »« Mais pour ce qui est de le faire fondre… Le simple fait de l’attacher à mon cou le fera non ? »« Non, car un de mes amis chimiste à réglé la question ! C’est lui qui m’a aidé à confectionner des vêtements que tu peux porter sans qu’ils s’enflamment. Il a fait la même chose pour le collier, il est recouvert d’une couche de l’un de ses mystérieux produits dont je suis incapable de répéter un traitre mot de toutes ses propres explications… Tu lui demanderas toi-même à l’occasion. »« Parfait alors ! Tu me le met ? »« Bien sûr ma Mya. »La jeune femme se retourna alors délicatement et suréleva ses cheveux afin qu’il lui passe autour du coup.
« Milo… Tu te rappelle de ce que tu m’avais dit une fois ? Le fait de grandir pour pouvoir t’aimer comme tu m’aime. Je ne comprenais pas très bien à l’époque mais je m’étais fait la promesse de tout faire pour que ce soit le cas. Et… Enfin voilà… J’ai maintenant dix-sept ans et ce que j’essaye de te dire. Enfin le fait pourquoi je suis là c’est… Je t’aime Milovan. »« Si tu savais depuis combien de temps j’attends ce moment ma chérie… »Mya ne s’était pas retournée, elle avait toujours ses cheveux sur le côté et laissait ainsi une partie de sa nuque dégagée. Milovan venait tout juste de boucler le fermoir du collier et descendait maintenant ses mains afin de les passer autour de sa taille et de la serrer contre lui avant de déposer ses lèvres dans son cou.
Une seule étreinte. Un seul baiser. Et il partit en fumée.
Memento, homo, quod pulvis es, et in pulverem reverteris
Chapitre 3 : Kiyoshi, le lion ailé.Un cri d’effroi retentit sur toute la place. Tout le monde était aux aguets, se demandant ce qu’il se passait. Le cri venait de la cabane de Milovan. Nessy partit en premier afin de voir se qu'il se passait, les autres préfèrent rester en arrière pour attendre des nouvelles. Une bande de trouillards sans aucuns doutes.
Nessy hésita un peu mais finit par ouvrir la porte avant de voir Mya à genoux au sol devant un tat de cendre, complètement choquée et en larmes. La vieille femme faillit se mettre à crier elle-même en voyant la scène, mais pas à cause des cendres ou de l'état de la jeune fille. Si elle avait faillit crier, c'était à cause de cette bête auprès de Mya : un lion du double de la normale possédant un regard vide d'expression et des ailes d'un noir charbon. C'était la première apparence qu'il avait arborée. La jeune femme ne l'avait pas encore remarqué elle, elle était trop chamboulée pour ça à l'instant présent, et ce lion n'avait encore rien fait pour lui faire voir qu'il était là. Il restait juste auprès d'elle, impassible.
"Mya! Recule-toi!"
"... Nessy... Je t'assure que... je n'ai jamais voulu ça... Oh mon dieu... Milovan... Qu'ais-je fait... Pourquoi toi..."
"Mya! Bon sang écoute-moi! Viens par ici! Tu ne vois donc pas ce qu'il y a prêt de toi? Mya!"
"Si bien sûr que je le voit... Ces cendres... C'est... Milo... Je l'ai tué Nessy!! Tué! J'ai tué le seul être qui m'a aimé un jour!""Je ne parle pas de ça! Tu n'y peux rien pour Milovan, je le sais, je l'ai toujours sû... J'ai sû ce qui allait arriver... Mais cette chose-là, je n'aurais jamais pu le prédire!"
"Tu le savais? Tu savais ce qui allait arriver à Milovan et tu ne pas prévenue? Pourquoi ne m'a tu jamais dit que j'étais dangereuse pour lui?! Sa vie t'étais si insignifiante que ça? Si j'avais seulement sû, jamais je ne serais restée auprès de lui!"
"Parce que tu ne le savais pas? Mya tout ce que tu touches est réduit en cendre! Comme si tu ne le savait pas qu'il ne pouvait te toucher!"
"Mais je... je... Non! Je sais que... Mais... Milovan... Oh non... Jamais je n'aurais pu imaginer une chose pareil tu m'entend? Jamais! Comment peux-tu croire une seule seconde que j'ai ignoré le fait que je pouvais le tuer? Pendant des années il est resté auprès de moi, jamais je ne lui ai fait du mal! Jamais! Je déteste le fait que tu puisses croire ça de moi. Tu m'entend? Je déteste! Je te déteste même! Depuis toujours! Tu as toujours tout fait pour me prendre ce que j'aimais! Si tu savais qu'il allait mourir en restant auprès de moi, pourquoi ne me l'a tu seulement pas dit au lieu de tout faire en silence? Pourquoi?!"*Mya... Calme-toi... Apaise ton esprit... Tu vas faire une bêtise...*"Qui? Que... Que se passe-t'il? Tu as entendu?""Oui j'ai très bien entendu, et si tu le veux ainsi, très bien, je ne viendrais plus jamais me mêler de ta vie. Fais-toi bouffer par ce lion c'est tout ce que tu mérites! Espèce de Démon! Retourne te brûler dans tes flammes!"La vieille femme repartit alors en claquant la porte derrière-elle et laissant Mya affronter ses peurs toute seule. Mya était encore à genoux, la voix qu'elle avait entendu avait eu le don de la calmer d'un seul coup. Cette voix rauque comme la sienne mais la voix d'un homme. Ce n'était pas celle de Milovan, celle-ci semblait plus... animale, à cause du genre de ronronnement qui se faisait entendre au fond de sa gorge. Assez spécial.
*Relève-toi. Regarde-moi. Je fais parti de toi Mya. N'ai pas peur de moi, je ne te veux aucun mal. Je t'aime plus que je ne m'aime moi-même. Je suis là pour toi.*Doucement la jeune femme s'exécuta, oubliant presque pourquoi elle s'était retrouvée à genoux. Cette voix lui était presque familière alors que c'était la première fois qu'elle l'entendais. En se relevant elle leva doucement sa tête afin de voir ce qui se présentait devant elle. Ses yeux s'équarquillèrent devant lui. Devant cette bête. Ce lion aussi immense que majestueux. Ce lion qui était siens selon lui. Et bizarrement, elle était plus choquée à se dire qu'il faisait partie d'elle plutôt que d'avoir peur devant cette immense bête.
"Que... Je n'ai pas peur de toi. Mais... Comment?"*Je me nomme Kiyoshi, je suis une partie de toi en quelque sorte. Je vivais en ton fort intérieur depuis toujours, depuis ta naissance. Le choc de ce qui est arrivé aujourd'hui à fait que tu m'a matérialisé. Tu as besoin de moi, et je suis là pour toi.*"... Merci Kiyo' ..."A ces mots, la crinière du Lion changea doucement, les poils devenant flammes. Une crinière de feu. Et ce feu attirait encore plus Mya que n'importe quelle chose n'avait pu le faire. Elle s'avança vers lui en tendant la main et passa sa main à travers, allant la poser pour venir lui caresser le museau.
*Tu vois... Tu as déjà repris confiance en toi Mya.*"Pourquoi est-ce que toi... tu ne brûle pas entièrement?"*Pourquoi si tu est venu me caresser c'était dans le but de me tuer moi aussi? Grmph, tu parles d'une confiance. Va falloir que je me méfie de ma princesse des flammes.*"Non non! Ce n'est pas ça! Je ne voulais pas! J'ai été... comment dire... attirée. Plus que jamais je ne l'ai été. Pardonne moi."*Je plaisantais Mya. Si je ne suis pas réduit en tat de cendre, c'est tout simplement parce que je suis fais comme toi. Je contrôle le feu moi aussi. Tu as déjà oublié ce que je t'ai dit? Je fais parti de toi! Je suis comme toi!*"C'est vrai. Désolée j'ai encore du mal à me faire à tout ça."*Allez viens, ne restons pas là. Ce n'est pas bon pour toi. Je t'emmène.*Dans un rugissement il attrapa sa maîtresse afin de l'attirer sur son dos et sortit de la cabane, ne prenant pas le temps d'ouvrir la porte et cassa tout sur son passage à cause de sa taille. Une fois sorti il s'envola aussi loin qu'il le pouvait, laissant l'endroit en flamme afin de détruire tout ce qui avait pu faire souffrir Mya, et afin qu'elle n'ait plus jamais l'envie d'y retourner.
Chapitre 4 : Tsubasa Gakuen, un nouveau départ.Pendant plusieurs mois la jeune femme avait essayée de s'isoler du monde mais elle aimait trop se montrer pour ça. Kiyoshi l'avait compris, il accepta donc qu'elle retourne dans le monde du spectacle mais à condition de l'accompagner sans jamais se dématérialiser. Elle accepta. A eux deux ils firent plusieurs spectacles, montrant leurs pouvoirs aux futiles humains qui pensaient tous que cela restait du domaine de la magie. Jusqu'au jour où elle reçu une lettre de la part d'un établissement. Tsubasa Gakuen. A la lecture de cette lettre se révêlait que cet établissement était unique car il permettait aux Sky-Children comme elle de contrôler leurs pouvoirs. Les membres de cette école avait certainement entendus parler d'elle et s'était douté de ce qu'elle était vraiment.
Kiyoshi se fit une joie d'apprendre cette nouvelle et ne laissa pas le choix à Mya. Ils se devaient d'y aller, il n'y avait aucun doute.
Mya s'y était donc rendue et pendant un an elle pu rencontrer un grand nombre de personne tout comme elle. Plusieurs sont devenus des amis, d'autres des amants, mais peu des ennemis. L'un des pilier, Astaroche, avec qui elle était très proche avait décidée de faire d'elle son successeur, depuis elle n'ai pas seulement une simple élève, elle est une élève avec des responsabilités. Mais ce qu'il faut surtout retenir, c'est que cette nouvelle vie auprès de toutes ces personnes lui plait et elle ne donnerait rien au monde pour l'échanger.